Communiqué :
“Le Codef ne cesse d’alerter la population et tous les acteurs de la santé de se rebeller pour éviter la pire des catastrophes sanitaires sur notre bassin
de vie notamment.
Un article récent de mâcon-info apporte un nouvel élément de preuve.
Nous invitons tous les citoyen·nes à cliquer sur le lien ci-dessous pour prendre connaissance de l’article du journaliste intitulé :
Hôpital de Mâcon : le médecin chef du service des urgences maltraité par les autorités de tutelle.
Vous y trouverez également la lettre ouverte de deux urgentistes du service qui déclarent, entre autres, ce que le Codef ne cesse de marteler :
« Il y a urgence à ce que l’ensemble des citoyen·nes prennent conscience de cette déroute, « en marche » et qui s’accélère. »
https://www.macon-infos.com/index.php? option=com_content&view=article&id=32149:hopital-de-macon-le-medecin-chef-deservice-des-urgences-maltraite-par-les-autorites-detutelle&catid=91&Itemid=294&lang=fr
L’actualité dramatique sur les sites de La Guiche et de Toulon sur Arroux nous incite à lancer un cri d’alarme : « ÉLU·ES ET CITOYEN·NES SORTEZ DU DÉNI DANS LEQUEL L’ARS VEUT VOUS MAINTENIR ! » La seule solution pour sauver nos hôpitaux en périphérie que sont La Guiche et Toulon sur Arroux c’est de redonner ses lettres de noblesse à l’hôpital Jean Bouveri. Le DROIT À LA SANTÉ EST UN DROIT FONDAMENTAL pour les 105 000 habitants qui gravitent à +ou- 30 minutes de l’hôpital Jean Bouveri.
Si le déni l’emporte, la prochaine feuille de route qui sera remise à la personne qui remplacera Madame Ungerer qui, entre parenthèse à remplie sa mission, fermera les portes des hôpitaux de La Guiche et de Toulon sur Arroux. Avec l’hôpital Jean Bouveri, devenu un SSR – XXL, il y
aura la grande lessive de l’emploi. « Remerciements » en direction des précaires en CDD, propositions de mutations pour les emplois sous statuts (ça tombe bien, il y a des démissions à la pelle un peu partout).
Que faut-il dire, que faut-il faire pour que les élu·es, les citoyen·nes prennent conscience du drame que nous vivons et la tragédie à venir sur notre bassin de vie ! À l’hôpital on peut y naître, on peut y mourrir, mais entre les deux il y a la vie !
Le Codef ne restera pas les pieds dans le même sabot !”